Image disponible (et bien d’autres encore !) sur le site thechomeusegoon.org
Qu’on ne s’y trompe pas; si nous parlons, dans l’enquête ou à d’autres occasions, de développement durable, qui est » l’intégration de la critique écologique au libéralisme économique « , c’est parce que c’est l’expression ambiguë utilisée par les différentes structures décisionnelles, celle qui apparaît dans les textes juridiques et est utilisée par le département. Nous avons donc à notre tour adopté cette terminologie dans un souci de compréhension.
Par ailleurs, nous considérons l’éducation au développement durable comme une brèche, sans pour autant soutenir les discours ou activités se limitant à des actions individuelles, culpabilisantes mais inefficaces pour enrayer la course vers la catastrophe climatique. Le collectif défend une durabilité forte, dont le projet est d’établir un autre rapport au monde. Il est temps de questionner fondamentalement le système économique et social en place.
Nous vous invitons à lire (et/ou à transmettre !) l’article « Éducation et durabilité forte : considérations sur les fondements et les finalités de l’institution » de Daniel Curnier, qui estime que l’institution scolaire peut contribuer à une métamorphose de la société, à condition d’entreprendre une mutation conséquente.
Éducation et durabilité forte : considérations sur les fondements et les finalités de l’institution, Daniel Curnier, dans La Pensée écologique 2017/1 (N° 1), pages 252 à 271
Rallions nos collègues et nos directions… puis la société toute entière à cette perspective !